par Patrick Kleeblatt

Le congrès du parti écologiste „déi Gréng“ qui s’est tenu ce 19 mars à Hesperange se basait lui aussi sur le bilan de la première mi-temps législative du gouvernement de coalition. Mais avant de nous pencher sur cette analyse, réjouissons-nous de la verve qu’ont affiché les délégués des „jonk Gréng“ en soumettant au parti une résolution, laquelle démontre on ne peut mieux leur opposition au partenariat transatlantique de commerce et d’investissement, mieux connu sous l’abbréviation TTIP, mais aussi au Comprehensive Economic and Trade Agreement, en abrégé CETA.